Ceci est un appel à vous braves étudiants et/ou braves travailleurs (j'inclus mères et pères au foyer, braves bosseurs à 200%), enfin à tout le monde finalement...
Aujourd'hui je vous demande de l'aide! Ça fait grave dit comme ça un peu dit donc...
Je vais commencer par dire: Merde. Vi farpaitement, j'ai un souci.
Un peu plus d'une semaine que j'ai fini le premier stage de la deuxième année, qui fût fabuleux,merci mon dieu et tous ses anges, jouez hautbois, résonnez musetteuuuh... Ouais bref. Un peu plus d'une semaine que j'ai repris les cours du coup -quoi vous espériez des vacances pour récupérer du stage? Tsk tsk tsk y rêvent ces jeunes...- et je suis dégoûtée.
Alors en somme, voui c'est bien plus tranquille qu'être en stage, physiquement du moins, et on peut dormir si on s'emmerde. Soit. Mais j'ai pas envie de m'emmerder, dingue hein? Bah oui mais alors je fais comment? Parce qu'en dehors des quelques cours de physiopathologie, c'est que du blabla. On veut vanter les mérites de la profession d'infirmière qui n'est pas valorisée à sa juste valeur... J'adhère à fond, c'est un boulot géant, mais tout aussi crevant et on mérite un poil d'être valorisées. Pour être valorisées comme il se doit, il faut de la connaissance, oki, il faut exiger une place autre que "je fais des piqûres", oki. J'suis toute d'accord dans le fond, c'est déjà bien cool, mais dans la forme, didiou y a un sacré souci. Parce que là, ça fait en tout et pour tout un mois et des bricoles de cours depuis le début de l'année, et on a eu que de la merde! J'arrive même pas à résumer ou à expliquer en quoi consistent ces cours, tellement je n'y met pas de sens... En gros, beaucoup de blabla pseudo psy-philo-éthico-correct. Et comme je ne sais pas être plus clair, je vais citer Marie : "Là j'ai l'impression d'être une oie qu'on gave de trucs indigestes et pénibles, je sais que c'est bientôt les fêtes mais bon..." Voilà tout est dit.
Bref mes soucis précis on s'en fiche, ma demande est la suivante:
Quels sont vos trucs pour aller en cours-bosser-i-tutti-quanti lorsque la motivation n'y est pas?
PS: Ne sont pas acceptées "se pendre", "avaler des yogourts périmés" ou toutes autres propositions mettant en danger ma santé voir ma vie...
PPS: Toute remarque du style "Et la motive pour écrire des articles espèce de fainéante???" vu que le dernier remonte à perpète les bourriques, sera ignorée (oupas mais ça fait genre un peu hihi).